> Relevé d'au moins 10 faits syntaxiques (citations / procédés / interprétations) dans l'extrait suivant - parmi ces faits syntaxiques, trouvez au moins deux pr
Français
lorinemichelon9
Question
> Relevé d'au moins 10 faits syntaxiques
(citations / procédés / interprétations) dans
l'extrait suivant - parmi ces faits syntaxiques,
trouvez au moins deux propositions
subordonnées dont vous donnerez la nature
(conjonctive ou relative) :
"Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient
des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf,
une sorte de corridor étroit et sombre qui va
de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce
passage a trente pas de long et deux de large,
au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées,
descellées, suant toujours une humidité âcre;
le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est
noir de crasse.
Par les beaux jours d'été, quand un lourd soleil
brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des
vitres sales et traîne misérablement dans le
passage. Par les vilains jours d'hiver, par les
matinées de brouillard, les vitres ne jettent que
de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie
et ignoble.
À gauche, se creusent des boutiques obscures,
basses, écrasées, laissant échapper des
souffles froids de caveau. Il y a là des
bouquinistes, des marchands de jouets
d'enfant, des cartonniers, dont les étalages gris
de poussière dorment vaguement dans l'ombre
; les vitrines, faites de petits carreaux, moirent
étrangement les marchandises de reflets
verdâtres ; au-delà, derrière les étalages
(citations / procédés / interprétations) dans
l'extrait suivant - parmi ces faits syntaxiques,
trouvez au moins deux propositions
subordonnées dont vous donnerez la nature
(conjonctive ou relative) :
"Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient
des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf,
une sorte de corridor étroit et sombre qui va
de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce
passage a trente pas de long et deux de large,
au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées,
descellées, suant toujours une humidité âcre;
le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est
noir de crasse.
Par les beaux jours d'été, quand un lourd soleil
brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des
vitres sales et traîne misérablement dans le
passage. Par les vilains jours d'hiver, par les
matinées de brouillard, les vitres ne jettent que
de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie
et ignoble.
À gauche, se creusent des boutiques obscures,
basses, écrasées, laissant échapper des
souffles froids de caveau. Il y a là des
bouquinistes, des marchands de jouets
d'enfant, des cartonniers, dont les étalages gris
de poussière dorment vaguement dans l'ombre
; les vitrines, faites de petits carreaux, moirent
étrangement les marchandises de reflets
verdâtres ; au-delà, derrière les étalages